Mission
La mission de SOAR est d’améliorer considérablement les résultats pour les survivants de lésions cérébrales dues à la violence conjugale en menant et en faisant progresser la recherche, en augmentant l’éducation et la sensibilisation, et en influençant et en améliorant les politiques et la pratique professionnelle.
Nous explorons l’intersection entre les lésions cérébrales et la violence conjugale, éduquons le public et ceux qui travaillent avec les survivants, et donnons aux survivants les moyens d’obtenir les soins qu’ils méritent.
EXPLORE – Recherche et exploration
Nous travaillons avec des chercheurs utilisant diverses méthodes pour explorer l’intersection de la violence
conjugale (VPI) et des lésions cérébrales (BI), et pour mesurer ses effets. Il s’agit notamment d’entretiens individuels pour recueillir les antécédents d’abus, évaluer la gravité des lésions cérébrales et explorer des problèmes de santé mentale tels que le SSPT (trouble de stress post-traumatique), la dépression, l’anxiété, la résilience et la qualité de vie. Des tests en laboratoire évaluent des éléments tels que les fonctions et les réponses physiologiques et comportementales, ainsi que les biomarqueurs sanguins, qui peuvent indiquer que le Bl s’est produit.
EDUCATE – Éducation et formation
Nous utilisons une approche intégrée d’application des connaissances pour nous assurer que les personnes qui travaillent avec les survivants de VPI ont les connaissances et les compétences nécessaires pour reconnaître et répondre à la VPI-BI, et nous offrons un soutien ciblé et tenant compte des traumatismes à ceux qui en sont victimes. Nous sensibilisons également l’ensemble de la communauté en élaborant et en offrant des ressources éducatives, des présentations informatives et des ateliers de formation.
EMPOWER – Soutiens et services
Nous fournissons des ressources aux fournisseurs de services dans les domaines des soins de santé, du soutien aux lésions cérébrales, du droit, de la violence fondée sur le sexe et d’autres secteurs. Nous travaillons en partenariat avec eux – et avec les survivants – pour cerner les lacunes en matière de services et élaborer et évaluer des solutions ciblées. Nous plaidons également en faveur d’une augmentation du financement de la recherche et de changements aux politiques et aux pratiques afin d’améliorer les résultats en matière de santé et de bien-être des survivants.
POURQUOI C’EST IMPORTANT
Les lésions cérébrales causées par la violence conjugale sont souvent cachées, non diagnostiquées ou mal diagnostiquées. Mais les lésions cérébrales peuvent avoir de graves répercussions sur la capacité d’un survivant à fonctionner, affectant la parentalité, l’emploi, le logement et les procédures judiciaires. Les agressions de violence conjugale sont souvent répétitives, sur des mois ou des années, entraînant des symptômes chroniques et parfois débilitants : maux de tête, étourdissements, problèmes de mémoire, problèmes de sommeil et difficultés de régulation émotionnelle.
Une lésion cérébrale peut amener le survivant à :
- Ne pas écouter
- Être facilement distrait
- Difficulté à apprendre de nouvelles choses
- Oubliez les rendez-vous ou les tâches ménagères
- Se fatigue et irrite facilement
- Éprouver de la colère ou de la rage
- Avoir de la difficulté à s’adapter
De nombreux travailleurs de première ligne ne sont pas formés pour reconnaître ou réagir aux lésions cérébrales. Souvent, les survivants ne savent pas qu’ils ont subi une lésion cérébrale, et lorsque des défis supplémentaires se présentent, c’est frustrant pour eux et pour ceux qui tentent d’aider.
Combler ce manque de connaissances est l’une des principales priorités de SOAR. Tout ce que nous faisons est fondé sur la reconnaissance du traumatisme et de ses effets sur les survivants.